En dehors d’une occasion de débauche gastronomique lors du Carnaval, la Tsiknopempti donnait aux ménages l’opportunité de se débarrasser des réserves alimentaires d’origine animale avant le début du Carême. La coutume survit jusqu’à présent, sécularisée et dépourvue de sa signification religieuse. C’est plutôt un prétexte de sortir en mi-semaine et s’amuser, accompagnés de grillades et de vin. La tradition reste bien populaire, malgré les objections des écologues et des végétariens.
TAGS: 02_24_2011