Dans le cadre du «Théâtre Français à la grecque» qui faisait partie du projet «Grèce-France Alliance 2014», on a pu voir en mai-juin dernier dans l’espace-garage de la Fondation Cacoyannis la pièce Hildade Μarie NDiaye, traduite en grec par Andréas Staikos.
Marie NDiaye, femme talentueuse de lettres française est primée à plusieurs reprises (Prix Femina en 2001 pour «Rosie Carpe» et Prix Goncourt 2009 pour «Trois Femmes puissantes»).
On peut lire à propos de Hilda, pièce théâtrale écrite en 1999 dans «le Journal de Dimanche»: «Ils sont peu nombreux à pouvoir rivaliser avec son talent.
A trente et un ans, Marie NDiaye est l’une des romancières les plus accomplie de sa génération. Elle écrit loin et fort. Aujourd’hui, elle revient sur le devant de la scène avec un texte en forme de pièce de théâtre dialoguée. ‘Hilda’ est un livreéblouissant sur cette forteresse imprenable qui s’élève à l’intérieur des êtres humiliés, dominés, imités. Car il demeure au fond d’eux-mêmes – tel un coffre fermé dont personne n’a la clé – quelque chose d’inaliénable.»
A trente et un ans, Marie NDiaye est l’une des romancières les plus accomplie de sa génération. Elle écrit loin et fort. Aujourd’hui, elle revient sur le devant de la scène avec un texte en forme de pièce de théâtre dialoguée. ‘Hilda’ est un livreéblouissant sur cette forteresse imprenable qui s’élève à l’intérieur des êtres humiliés, dominés, imités. Car il demeure au fond d’eux-mêmes – tel un coffre fermé dont personne n’a la clé – quelque chose d’inaliénable.»
A partir d’aujourd’hui (15 janvier 2015) et pour un nombre de 20 soirées, on aura l’occasion de voir de nouveau à la Fondation Cacoyannis «Hilda», mise en scène par Vassilis Mavrogeorgiou.
GrèceHebdo y participe comme sponsor de communication.
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