
La proposition socialiste, axée sur la croissance, l'augmentation des emplois et le progrès social, prévoit une taxe de 0,05% sur les transactions financières et la création d'une ‘Agence de stabilité qui émettrait des euro-obligations’. Le président du PSE, Poul Nyrup Rasmussen, a déclaré que les socialistes exigeront la diminution des taux d'intérêt des prêts accordés à la Grèce et l’Irlande et que le PSE soutient l’allongement du délai de remboursement de l’emprunt grec.
De son côté, Papandréou a souligné que la lutte pour la mise en œuvre de grands changements en Grèce et en Europe est commune, afin que la Grèce surmonte la crise économique et qu’une perspective de développement et de prospérité soit donnée aux peuples de l'Europe.