
De sa part, le Premier ministre, Georges Papandréou, a accusé mardi les agences de notation de semer la panique. D’ailleurs, le porte-parole du commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, a qualifié la décision de S&P d'“unilatérale et injustifiée”, déclarant que ‘‘nous ne partageons pas cette évaluation’’. Il a également noté que la Grèce applique son programme d'ajustement économique et a exprimé la satisfaction de la Commission concernant les "efforts ambitieux" du gouvernement grec.