
Toutefois, le ministre a fermement déclaré que l’Accord Schengen doit s’appliquer et que la Grèce n’acceptera en aucun cas une marche en arrière de l’Europe qui pourra renverser l’acquis communautaire. Le ministre a ajouté qu’Athènes n’acceptera un renforcement des contrôles aux frontières intérieures, qu’à des cas exceptionnels.
A ce sujet, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, avait déjà déclaré, mercredi, que la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’UE doit être préservée et que des changements pour réduire le poids des flux migratoires à certaines régions de l’UE doivent être promus.