Des manifestations de soutien au peuple grec, frappé par la crise économique et par les mesures d’austérité ont eu lieu samedi dernier, le 18 février, dans plusieurs villes du monde entier.
Un nombre considérable de manifestants se sont rassemblés en dehors des ambassades et des consulats grecs, pour dénoncer l’agression des marchés contre la Grèce, les durs sacrifices que le peuple grec subit et l’attitude négative de la communauté internationale devant ses efforts. Le slogan ‘‘Nous sommes tous Grecs’’ a été entendu
fort à Paris, à Nantes, à Marseille, mais aussi à Düsseldorf, à Vienne, à Rome, à Madrid et à New-York.
fort à Paris, à Nantes, à Marseille, mais aussi à Düsseldorf, à Vienne, à Rome, à Madrid et à New-York.
L’appel a été lancé via l’Internet et les réseaux sociaux et de nombreux mouvements politiques et sociaux ainsi que des citoyens individuels ont répondu, en exprimant leur solidarité aux Grecs, qui affrontent une situation économique vraiment difficile. Parmi les manifestants à Paris, le cinéaste fran
co-grec Costas Gavras a déclaré samedi que la Grèce est l’une de premières victimes d’une guerre économique, qui pourrait être caractérisée comme la 3e guerre mondiale.
co-grec Costas Gavras a déclaré samedi que la Grèce est l’une de premières victimes d’une guerre économique, qui pourrait être caractérisée comme la 3e guerre mondiale. En outre, pendant son audition mardi par les députés socialistes à l’Assemble Nationale française, Gavras a prié ‘‘de cesser d’humilier le peuple grec, qui souffre énormément, surtout les plus pauvres, les plus démunis’’ et a ajouté que ‘’la France peut faire beaucoup’’ pour aider son pays d’origine.
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